Mettre en avant les boucs-émissaires et les aspects génocidaires ?

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    jp_minier
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    Bonjour à tout le monde,

    Je me demande si, en plus de toutes les actions menées ici et ailleurs par nombre de résistants pour contrer la propagande vaccinale elle-même (actions ô combien justifiées et nécessaires), il ne serait pas juste de tenter d’alerter sur les dérives sous-jacentes totalitaires et ses caractéristiques mortifères. Eric Verhaeghe a sorti une vidéo hier avec un thème semblable en parlant de pulsions génocidaires et, malheureusement, il a raison…

    Un régime totalitaire a toujours besoin de trouver des « eux » à opposer à un « nous » pour cacher le harcèlement qu’il exerce derrière un faux rôle de sauveur/protecteur. Il a toujours besoin de trouver des ennemis intérieurs et/ou extérieurs à pourchasser et à éliminer (cf. la suite sans fin des « complots » dans l’URSS de Staline, parmi de nombreux autres exemples). Ces « eux » permet aussi à ce régime totalitaire de projeter toute son ombre sur autrui : exemple, quand ‘nous’ sommes qualifiés de complotistes, fous, extrémistes de je ne sais quel bord, et même anti-sémites, etc., en fait c’est d’eux-mêmes dont ils parlent… Mais, ils auront toujours besoin de trouver des ‘coupables’ ou des boucs-émissaires pour leur faire porter ce qu’ils ne veulent pas voir en eux-mêmes. Dans ce délire paranoïaque, ils iront jusqu’au meurtre de masse et j’ai bien peur que nous soyons dans une logique de camp de concentration.

    Mon propos est : tenter de faire sentir que tous sont menacés, même, et peut-être surtout, ceux qui croient échapper au couperet en étant les bons élèves dociles et soumis.

    Dans cet esprit, je recopie ci-dessous un exemple de texte qui pourrait être diffusé par quiconque s’y retrouve ou trouve pertinent de le faire vis-à-vis de ses réseaux. Dites-moi ce que vous en pensez. Est-ce que cela parlerait à des personnes hésitantes et en marge des aspects médicaux proprement dits ?

    Courage à tout le monde.

    – – – -(ci-dessous exemple de texte à diffuser) – – – –

    Nos gouvernants actuels nous disent que nous sommes en danger de mort, attaqués par de terribles virus, et que notre salut ne tient qu’à notre adhésion inconditionnelle à la nouvelle religion vaccinale.

    Ils nous disent aussi que tous nos maux ne viennent que d’un groupe de scélérats qui osent douter de l’efficacité et de l’innocuité du nouveau baptême.

    Alors, excluons-les. Cela ne suffit pas ? Il faudra leur « pourrir la vie » et les parquer dans de nouveaux camps. Mais, peut-être que ce ne sera pas non plus suffisant ? Brûlons-les tous, Dieu reconnaîtra les siens !

    Nous pourrons alors couler des jours heureux et paisibles. Vraiment ? Cependant, une question s’impose :
    <p style= »text-align: center; »>Qui seront les nouveaux boucs-émissaires qu’il faudra pourchasser ?</p>
    Car, est-ce que nos gouvernants, êtres purs et angéliques dont les paroles créent le ciel et la terre à chaque seconde, assumeront ensuite la pleine responsabilité des difficultés du quotidien ou des problèmes à venir ?

    Rappelons-nous ce qui s’est passé tant et tant de fois dans le passé. Dans un régime totalitaire, il y a toujours besoin de désigner des coupables dans la population. Et puis un autre groupe, et un autre, etc. Il y aura toujours besoin de classer les gens entre « nous » et « eux » qui deviennent, bien sûr, les nouveaux ennemis à abattre. Encore et encore…

    Alors, à qui est-ce que ce sera le tour après ? Ne vous inquiétez pas, tout le monde y passera.

    La logique d’un régime totalitaire est la peur. Ces gouvernants vivent dans la peur et ils veulent que nous vivions tous dans la peur. La peur et la persécution (culpabilisation, chantage, menace…). Leur logique est celle de la destruction et de la mort. Mais, bien entendu, tout cela au nom du « bien public » ou de « l’intérêt général », termes dont la définition est réservée à une élite.

    Le contraire de la peur, c’est… l’amour. Juste un peu d’amour, pour faire face ensemble aux épreuves.

    La peur de la mort n’empêche pas de mourir. Elle empêche de vivre.

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