Autonomie et Santé: découvrez comment Stéphanie a guéri du cancer…

En mai 2021, je découvre que je suis atteinte d’un cancer du sein au stade 3. Ce cancer est clairement un signal d’alarme, m’indiquant qu’il est temps que je me reprenne ma vie en main et que j’entreprenne un travail émotionnel profond. Je décide de définir mon parcours de soin en toute autonomie.

Embarqué dans le tourbillon de la vie, je n’ai rien vu venir. Le cancer était là et l’objectif était de m’en débarrasser en ayant le moins d’effets secondaires possibles et en protégeant mes cellules saines.

Pour y parvenir, j’étais convaincue, de deux choses : je devais être actrice de mon parcours de soin et je devais associer les médecines douces à mon protocole allopathique. Mon appétence et mes formations en médecine holistique m’obligeaient à suivre ce chemin. Dans cet article, je vous décris comment je suis devenue autonome dans le traitement de ce cancer. Chacun des bienfaits des techniques naturelles seront ensuite détaillés dans mes prochains articles.

L’autonomie de ma santé dès l’annonce du cancer.

Tout commence au premier rendez-vous avec mon oncologue. Je l’informe de ma volonté d’inclure les médecines douces à mon parcours de soin. Malheureusement, les portes se sont fermées. Elle m’a mis en garde contre le « charlatanisme » et le risque d’incompatibilité des traitements allopathique avec les médecines douces et les conséquences néfastes qu’elles pourraient engendrer.

Trop tard, les rendez-vous étaient déjà programmés avec les différents praticiens (naturopathe, énergéticien, acupuncteur etc) et j’avais pleinement confiance aux praticiens que j’avais choisi.

Avant même le démarrage du protocole de chimiothérapie, j’avais déjà entamé mon protocole holistique et réalisé des changements dans mes habitudes du quotidien (alimentation, hydratation, sommeil, activité physique etc …). Il fallait avant tout booster mon système immunitaire afin que mon corps puisse supporter les traitements.

L’autonomie de ma santé pendant les traitements.

Les traitements allopathiques démarrent en juin 2021 et je suis déjà suivie depuis plusieurs semaines par des praticiens holistiques.

Ici, je vous détaille les actions holistiques que j’ai pu mettre en place en parallèle de mes traitements allopathiques. Je tiens à préciser que ces actions ont été appliqués sous les conseils et/ou la validation de mes praticiens. J’ai entrepris des changements autour de 5 grands piliers de la santé. J’ajouterai aussi que ce qui a fonctionné pour moi, ne fonctionnera certainement pas chez un autre individu. Nous sommes différents, nos cancers sont différents. Il est évident que vous devez demander l’avis d’un expert avant d’entreprendre des démarches personnelles.

  • Alimentation

Je suis végétalienne depuis de nombreuses années (alimentation végétale et aucune source alimentaire provenant de l’animal) et je mange sans gluten au moment de l’annonce de la maladie, j’ai donc continué ce régime jusqu’à la rémission avec le suivi de mon médecin acupuncteur et ma naturopathe. J’ai choisi des aliments alcalins et à indice glycémique bas. Je consommais des fruits et des légumes bio, locaux et de saisons en cuisson vapeur ou crus.

Je consommais des légumineuses ou de la spiruline pour apporter des protéines.

Evidemment, j’avais exclu les sucres simples. Et je contrôlais mon apport de glucides chaque jour. Je me suis beaucoup rapprochée des céréales africaines. J’ai aussi drastiquement réduit la quantité de fruits, je suis passée de trois fruits par jour à un fruit par jour.

J’ai veillé à consommer suffisamment de matières grasses à travers la consommation d’huiles végétales et d’oléagineux. Je choisissais les huiles avec beaucoup d’attention : bio et de première pression à froid. Je me tournais vers des huiles riches en oméga 3.

J’ai exclu totalement les aliments transformés, c’est-à-dire tout aliment emballé (lait végétal, yaourt végétal etc…), uniquement des produits bruts cuisinés maison.

J’évitais les grignotages et lorsque j’avais un petit creux ; généralement je mangeais une portion de légumineuses (lentilles, pois chiches ou pois cassés) ou un fruit.

J’ai introduit le jeûne hydrique à chaque cure de chimiothérapie d’une durée de quatre jours. Je jeûnais deux jours avant la chimiothérapie, le jour de la chimiothérapie et un jour après. Je buvais de l’eau, des infusions ou des thés par exemple.

Enfin, je me suis complémentée grâce à la nutrithérapie et la phytothérapie ; pour booster mon système immunitaire, protéger mon foie et affaiblir les cellules cancéreuses. L’oncologue avait la crainte de l’incompatibilité des compléments alimentaires avec les traitements. Donc, je stoppais les compléments alimentaires deux jours avant la cure de chimiothérapie et je reprenais deux jours après.

Le corps ne combat pas le cancer, il combat les traitements lourds, il est donc primordial de lui donner toutes les armes au quotidien pour le renforcer.

  • L’hydratation

Je n’ai bu que de l’eau filtrée ou en bouteille et dynamisée. Pour dynamiser l’eau, je dépose ma carafe d’eau sur une fleur de vie. J’ai éliminé le café et je l’ai remplacé par le maté. J’ai consommé des infusions et du thé. J’ai aussi découvert le kombucha, je le fabriquais moi-même et je le consommais régulièrement.

J’ai complètement stoppé l’alcool, il n’était pas question de mélanger la chimiothérapie avec l’alcool, c’était une question de bon sens.

  • L’Activité physique :

Tous les jours, je pratiquais au moins une heure d’activité physique par exemples de la marche, du vélo, des exercices de cardio-training parfois du yoga. L’activité physique était obligatoire dans mon planning. J’ai beaucoup marché en pleine nature, proche des forêts, je ressentais ce besoin de m’oxygéner chaque jour. J’ai privilégié mes déplacements à pieds ou en transports en commun pour compléter mon programme.  

  • Le sommeil :

Avant la maladie, le sommeil était l’un des piliers que je négligeais le plus dans mon quotidien. Lorsque la maladie est arrivée, j’ai été en arrêt de travail et a première chose que j’ai faite a été de supprimer le réveil. Je dormais bien et entre 10h et 12h par nuit en moyenne. J’ai instauré un rituel pour le coucher. Tout d’abord, sortir mon téléphone de la chambre et le basculer en mode avion. Afin de ne pas être perturbée par les ondes électromagnétiques ou d’éventuels messages ou appels. Ensuite, je m’installais sur mon tapis d’acupression et je réalisais quarante balayages énergétiques pour éliminer tous les blocages énergétiques accumulés durant la journée et je finissais par des visualisations positives de mon corps. Ces exercices m’avaient été transmis par mon énergéticien. Aussi, je faisais un exercice de rotation des yeux (signe de l’infini) conseillé par mon acupuncteur pour me conduire à la détente. Je clôturais ce rituel par trois actions positives accomplies durant la journée pour me féliciter. Ainsi, je m’endormais apaisée et avec le sentiment d’avoir réussi ma journée.

  • Luminosité et grand air :

Chaque jour, je marchais en plein air à proximité de la forêt. Je ressentais ce besoin de m’oxygéner et profiter au maximum de la lumière du jour. Ainsi, par tous les temps j’étais dehors.

D’autre part, je me suis entourée de personnes lumineuses et positives et je me suis séparée des personnes sombres et négatives.

  • Gestion émotionnelle et travail énergétique :

Un autre pilier que j’ai complètement négligé avant la maladie est la gestion émotionnelle et l’apaisement psychologique. Pour m’aider, j’ai entrepris des séances auprès d’une sophrologue et d’un psychologue. J’ai lu des livres et j’ai consulté de nombreuses vidéos en lien avec ma problématique personnelle, afin de mieux comprendre mon fonctionnement et réajuster mes comportements.

J’ai entrepris une reprogrammation de mon cerveau et de mes cellules par la pratique quotidienne d’exercices très simples. Je me répétais tous les matins et à haute voix une liste de phrases positives (Je m’aime, je me pardonne, je suis belle etc…). Un exercice extraordinaire et très puissant qui me boostait au quotidien.

Par ailleurs, au-delà de la puissance des mots, j’accordais aussi beaucoup d’importance à la visualisation positive. Tous les soirs au moment du coucher, je réalisais trois inspirations et trois expirations. J’inspirais et j’imaginais une lumière étincelante parcourir mon corps, puis j’expirais en visualisant une fumée noire sortir de ma bouche. Aussi, je focalisais toute mon attention sur la tumeur et je visualisais des paillettes d’or tomber sur elle puis partir en fumée.

J’ai accompli de nombreuses séances chez mon acupuncteur, à hauteur de deux séances par cure de chimiothérapie (une séance avant et une séance après). L’objectif était de renforcer le système immunitaire et éviter les nausées pendant les cures.

J’ai réalisé aussi un certain nombre de séances chez mon énergéticien, le travail était axé sur le rééquilibrage énergétique du corps. La fréquence des séances était d’une fois par semaine durant tous les traitements.

Sans oublier, les actions positives, le tapis d’acupression et les balayages énergétiques cités plus haut tous les soirs au moment du coucher.  

  • Environnement et compagnie

Eu delà, d’un tri dans mon entourage j’ai aussi fais du tri dans ma maison, j’ai réaménagé et décoré tout mon espace en m’appuyant sur la méthode chinoise du Feng Shui. J’ai apposé des pierres de lithothérapie dans mon habitat pour compléter ce mieux-être.

Concernant les produits cosmétiques et ménagers, je n’utilisais que des produits naturels et faits maison (savons, crèmes hydratante etc …).  Il fut de même pour les produits ménagers et la lessive. Je portais parfois un peu de rouge à lèvre et j’utilisais une marque bio et vegan.

L’hygiène bucco-dentaire était extrêmement importante. Brossage de dents après chaque repas et bain de bouche. J’avais du bicarbonate de sodium pour les bains de bouche, mais je l’ai remplacé par du vinaigre de cidre et de l’eau, je n’ai jamais eu d’aphte.

Pour éliminer les produits de chimiothérapie en surplus, soulager et détoxiquer mes émonctoires, je réalisais tous les soirs des cataplasmes d’argile (sein, foie, reins, crâne). Je gardais les cataplasmes toute la nuit.

Plus j’avançais dans les traitements, plus je me sentais en confiance et plus je me rapprochais de mon objectif : la rémission.  J’ai supporté toutes les cures de chimiothérapie et je n’ai pas eu d’effet secondaire.

L’autonomie de ma santé pendant la rémission.

Ma dernière cure de chimiothérapie est en novembre 2021, lors d’un rendez-vous en janvier 2022, l’oncologue m’annonce la rémission. Cependant, mon protocole n’est pas terminé, je dois poursuivre avec la radiothérapie (vingt-cinq séances en février) et des injections d’anticorps (une injection d’anticorps toute les trois semaines jusqu’en septembre 2022).  Après réflexion, je décide de stopper les traitements allopathiques et poursuivre sur le chemin de la rémission uniquement par le biais de la médecine holistique. Durant toute l’année 2022, j’ai poursuivi mes recherches sur le cancer (son fonctionnement, son développement, ses faiblesses), j’ai aussi enrichi mes connaissances sur les bénéfices des médecines douce sur le cancer.

En période de rémission, j’ai complété la routine détaillée précédemment et voici ce j’ai entrepris.

  • L’alimentation :

J’ai intégré un jus par jour de fruits et légumes à l’extracteur, j’ai augmenté mon apport quotidien en légumes crus afin qu’elle devienne la part la plus importante de mes repas. Je jeûne désormais tous les jours en intermittence (méthode 16/8).

  • L’activité physique :

Je pratique une activité physique tous les jours en période jeûne et non en période de repas.

  • Le sommeil :

J’ai complété mon rituel du coucher avec une séquence de méditation ou de sonothérapie.

  • Luminosité et grand air :

La routine est la même, rien n’a changé.

  • Hydratation :

Je m’octroie occasionnellement à hauteur d’une fois par mois, un verre de vin rouge bio et sans sulfite et un bon café.

  • Gestion émotionnelle et travail énergétique :

Je médite généralement le soir, j’écoute de la sonothérapie tous les jours et tout au long de la journée. Je réalise aussi tous les matins un exercice pour activer la glande thyroïdienne et le thymus, par le biais du tapotage et l’usage de ma voix. J’ai aussi découvert une prière pour activer les glandes endocriniennes que je récite à haute voix chaque matin.

Je trouve aussi une libération émotionnelle à travers l’écriture d’un livre. Un exercice très prenant mais finalement libérateur.

Je porte depuis 3 mois un collier avec le symbole de la fleur de vie.

  • Environnement et compagnie

J’ai subi une mastectomie complète du sein gauche en décembre 2021, ainsi qu’un curage ganglionnaire. Après l’opération et des mois durant je constatais que la lymphe stagnée dans le creux de l’aisselle gauche. J’ai donc cherché des solutions naturelles pour drainer la lymphe. J’ai trouvé deux solutions simples : un exercice de pressothérapie que j’exécute trois par jours et le brossage à sec que je réalise le soir avant la douche. Après deux semaines, la masse formée par la lymphe a disparu.

J’ai poursuivi ma chasse aux ondes électromagnétiques et j’ai installé des pastilles sur mon téléphone et mon ordinateur et j’ai résilié mon abonnement à ma box internet.

Passez à l’action et devenez acteur de votre santé avant que la maladie se déclare. Nous sommes tous responsables de notre santé !

Pour plus de conseil, vous pouvez suivre le compte instagram de Stephanie : stephaniebonaddio_ 

Si vous avez des questions ou si vous souhaitez un accompagnement personnalisé vous pouvez la contacter par mail enjoyourcells@gmail.com .

Je sera ravie de vous aider à passer à l’action pour votre santé !

6 comments
  1. Merci beaucoup Judith pour ce témoignage à même de propager l’espoir … et bravo pour votre force et persévérance !
    Pour rester dans ce domaine, je signale, à toute fin utile, les travaux du Dr Laurent Schwartz (que l’on trouve sur YouTube) concernant l’origine des cancers, ainsi que « sa méthode » (à adapter) pour le traiter. Il a écrit plusieurs livres expliquant tout ça.
    Je signale aussi la chaîne YouTube « Cancer Therapy » ainsi que celle du « Dr Eric Berg en français ».
    Juste pour préciser, je n’ai aucune compétence en la matière et mon médecin (aussi acupuncteur) m’a dit que la méthode du Dr Schwartz était valable, mais pas pour tous les types de cancer (lesquels, pourquoi ?). Ceci étant dit, on y trouve énormément d’informations qui peuvent être utiles.
    Heureux de comprendre que vous vous en êtes sortie, je vous souhaite une merveilleuse année !

  2. Félicitation,mon mari depuis 2 mois a entrepris un passage en douceur avec des compléments alimentaire pour la maladie de Parkinson la transition devrait se terminer le mois prochain.Cette maladie a arrêté d’évoluer ,il recupére petit a petit et a un super moral .Mais il s’aide de livres n’en parle pas aux medecins par contre il a debuté des séances d’hypnose .la vie redeviens pleine d’espoir

  3. Bonjour,
    Merci pour votre texte qui devrait redonner l’espoir aux nouveaux et toujours plus nombreux cancéreux.
    J’ai eu moi-même à peu près la même démarche en étant confronté à un cancer à la langue.
    Dès que j’ai su — le samedi 15 septembre 2018 — j’ai lu avidement un livre que j’attendais auparavant d’avoir le temps de lire : « Du cancer on peut guérir » du Père Romano Zago. Le lundi, j’achetais sa potion et démarrais illico mon propre traitement.
    De plus, par un extraordinaire concours de circonstances, en juillet de la même année, j’avais appris par la lettre de Xavier Bazin, ce que vous appelez le programme 16/8 : « Cet été, essayez le jeûne intermittent ». J’ai ainsi perdu 20 kg en 4 mois, sans jamais les reprendre ni sans jamais non plus avoir envie de recommencer à faire les 3 repas quotidiens. J’en suis à 2 mais il m’arrive de n’en faire qu’un, sans le moindre problème.
    Bref, je ne vais pas faire ici la liste de tous les traitements parallèles que j’ai mis en place et dont beaucoup rejoignent ceux que vous décrivez.
    Je suis depuis février 2019 « en rémission complète », expression consacrée par les médecins allopathes pour ne pas dire « guéri » qui est un gros mot. À chacun sa religion.
    Personnellement, je touche du bois…
    Sinon, je m’informe assidument sur un produit qui semble absolument révolutionnaire, malgré qu’il soit chimique, le CDS.
    Bon courage à tout le monde.

  4. Merci de ce témoignage qui montre que le courage et la persévérance sont la clé de tout … à condition de connaître les bons gestes et les bonnes recettes. Vous nous donnez un exemple des deux. Bravo et merci.

  5. Merci pour ce magnifique témoignage et vos explications…..

    que la force soit avec Vous pour 2023 Meilleurs Voeux

  6. Merci pour ce témoignage, et surtout pour la leçon de courage et de résilience !
    Je suis très admiratif et vous envoie mes meilleures ondes!
    Encore bravo!

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